Monet & Goyon, la moto française
39,50 €
En ce début du XXe siècle, les découvertes abondent. La technique évolue à grands pas grâce à des hommes que l’inconnu ne rebute pas. C’est ainsi que Joseph Monet et Adrien Goyon créent des tricycles actionnés par les mains, nommés “Vélocimane”. Nous sommes après la Première Guerre mondiale et les blessés sont nombreux.
Résumé
Ils adaptent rapidement une roue motrice d’origine anglaise, dont ils deviennent les concessionnaires exclusifs pour la France. Le premier pas vers la motorisation est ainsi fait. Suivra une production variée de motocyclettes jusqu’à 500 cm3. La marque mâconnaise Monet & Goyon se taille une solide réputation en compétition entre les deux guerres, alors que la production évolue continuellement au fil des ans. Les moteurs anglais Villiers, puis les moteurs suisses M.A.G. équipent les motos. En 1929, les ventes diminuent, et pour retrouver la confiance de ses agents, Monet & Goyon achète la prestigieuse marque Kœhler-Escoffier. Les victoires sportives vont alors se succéder. Dans les années 1950, Monet Goyon n’échappe pas à la mode du scooter avec la Starlett, ni à celle du cyclomoteur. Une nouvelle moto carrossée, le Pullman, est étudiée en 1956. Mais cette même année, la conjoncture économique entraîne le déclin de l’entreprise qui abandonnera définitivement la production d’engins motorisés et se reconvertira dans la fabrication de motoculteurs pour Motostandard.
Informations techniques
EAN | 9782726894484 |
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Poids | 1,007 kg |
Dimensions | 25,4 × 25,4 cm |
Pages |
160 |
Nombre d'illustrations |
350 |
Éditeurs | ETAI |